Le digital dans le funéraire, un évènement sponsorisé par le Groupe UDIFE

Affirmer ses valeurs coopératives dans ce contexte de crise

Le secteur des pompes funèbres traverse actuellement une période sanitaire et sociétale très particulière qui nécessite d’être solidaire. C’est dans ce contexte que le Groupe UDIFE a tenu à incarner son ADN

Terme générique désignant le mouvement coopératif, en particulier le commerce coopératif, mais aussi l’ensemble des formes d’organisation qui utilisent ce statut juridique : coopérative bancaire, agricole, artisanale, de production, de salariés, de transporteurs, maritimes, ou encore de commerçants.

et militant en mettant à la disposition de tout le secteur deux sessions de webinar. Le Groupe, à travers quatre jeunes entrepreneurs, concessionnaires Le Choix Funéraire et membres du Comité Prospectif Opérationnel des Jeunes (CPOJ), a organisé deux web conférences, les 15 et 16 octobre derniers. Le CPOJ est composé de jeunes membres du réseau qui s’interrogent sur les tendances et l’avenir du secteur dont le digital fait partie.

Interroger la place du digital dans le secteur du funéraire

Ces conférences, intitulées Le digital au service de notre croissance et Le digital partenaire de la relation humaine, ont abordé différentes thématiques digitales propres au secteur du funéraire. Ces sessions ont permis aux nombreux inscrits de bénéficier d’une information gratuite sur le digital local, la gestion de la data ou encore les nouvelles tendances dans le secteur.

Quatre intervenants externes experts dans leur domaine ont pu nourrir l’heure et demie de conférences accompagnés des quatre jeunes concessionnaires Le Choix Funéraire chargés de l’animation de ces deux sessions.

• Pia Blondel, key account manager chez Partoo, a abordé le digital local comme vecteur de croissance en répondant par exemple à la question : Comment booster son activité d’indépendant via le digital ? Ce fut l’occasion de définir des axes de stratégie d’acquisition digitale.
   
• Ghislain Gridel, directeur conseil data & CRM chez Avanci, a quant à lui démontré comment la data et le CRM sont une véritable source de business pour demain, et donné quelques pistes pour les utiliser efficacement.
   
• Sarah Dumont, fondatrice de Happy End et auteure de “Un enterrement comme je veux“, le premier guide pratique des obsèques civiles, a fait découvrir des éléments de la relation client différenciants sur le marché des pompes funèbres. Elle s’est attachée à présenter quelques solutions pour fidéliser nos familles.
   
• Fabien Koudou, chef de projet de la marque Ecoplus Funéraire, a présenté l’utilité du digital dans la gestion d’un décès, et présenté le rôle sociétal de la marque qui est de défendre le pouvoir d’achat des familles endeuillées.

Bien que certaines familles ayant récemment perdu un proche aient l’habitude de se rendre en boutique pour réaliser les premières démarches et signer un devis, certains ont dorénavant un réflexe de recherche d’informations et de tarifications en ligne.

Les tendances de consommation de service évoluent, et le secteur funéraire n’y échappe pas. Le digital est un canal extraordinaire qui permet également de renseigner en ligne des personnes isolées géographiquement ou qui ont simplement le souhait et l’habitude d’avancer en autonomie dans leurs démarches.

La marque Ecoplus Funéraire offre une tarification unique et transparente qui permet aux familles d’allouer un budget fixe sans options cachées pour cette cérémonie d’un jour. Ecoplus Funéraire s’engage auprès des Français qui souhaitent réduire le coût des obsèques tout en garantissant des produits et un service de qualité où la relation humaine prime. Si le point de contact avec la marque se fait sur Internet, l’organisation et l’accompagnement de la cérémonie se font, bien entendu, en local au plus proche du domicile des familles.

Le Groupe UDIFE est ravi que ces deux sessions de webinar aient pu se maintenir malgré le contexte sanitaire, et espère pouvoir prochainement renouveler l’expérience.

« La Covid-19 est-elle un accélérateur de mutations sur le marché du funéraire ? Privilégier l’expression de l’authenticité du lien à l’expression ostentatoire, la numérisation va-t-elle renforcer une transformation sociologique engagée depuis plusieurs décennies ? La question est posée. Le monde funéraire de demain sera plus que jamais celui du numérique et notre

La coopérative est une association autonome de personnes volontairement réunies pour satisfaire leurs aspirations et besoins économiques, sociaux et culturels communs au moyen d’une entreprise dont la propriété est collective et où le pouvoir est exercé démocratiquement. La coopérative est la forme juridique utilisée par plus de 90% des réseaux de Commerce Coopératif et Associé. Elle peut emprunter le statut de société anonyme ou de responsabilité limitée coopérative de commerçants détaillants à capital variable. Les coopératives de commerçants peuvent offrir tous types de prestations à leurs membres et notamment mettre à leur disposition des moyens financiers essentiels à leur développement.

Les groupements de commerçants constitués en coopérative sont donc régis notamment par les dispositions de droit commun des sociétés anonymes ou de la SARL ; les dispositions sur le capital variable des sociétés commerciales ; la loi générale du 10 septembre 1947 portant sur le statut de la coopération ; la loi du 11 juillet 1972 spécifique aux coopératives de commerçants désormais codifiée aux articles L. 124-1 et suivants du code de commerce.

De manière plus générale, les coopératives sont tournées autour de sept grands principes fondateurs que sont :

• la liberté d’adhésion,
• le pouvoir démocratique,
• la participation économique des sociétaires,
• l’autonomie et l’indépendance,
• l’éducation,
• la formation et l’information, la coopération entre les coopératives,
• l’engagement envers la communauté.

Les coopératives sont « maîtres de leurs capitaux » et donc maîtres de leur destin et de l’ensemble des moyens mis en commun. Chaque associé souscrit une part du capital à la structure ; il n’existe pas de cotation à la bourse de valeur : la stabilité de l’actionnariat et des stratégies du réseau sont garanties par les associés selon le principe démocratique 1 associé = 1 voix. Si le statut coopératif n’est plus aujourd’hui le seul modèle qui permette à des indépendants de s’associer pour gérer ensemble leur devenir, il en est le plus abouti. Un commerçant associé dans un groupement est acteur de son futur.

ne peut que s’inscrire dans une relation durable avec la société dans ce domaine. Car demain est déjà hier, nous avons souhaité, en qualité de générateur d’innovation, organiser à l’occasion de la Toussaint deux Web conférences sur des thématiques digitales. La révolution du commerce digital est en route et notre

Terme générique désignant le regroupement d’entrepreneurs indépendants au sein d’une structure commune, société (coopérative bien souvent, voire GIE ..). Le terme « groupement » désigne, en général, l’ensemble des sociétés le composant (coopérative, filiales,…). Au sein du Commerce Associé, le terme « groupement » est régulièrement employé pour abréger l’appellation « groupements de commerçants associés ». Dans la littérature propre au Commerce, il est employé parfois pour désigner d’une façon large une forme de commerce en réseau constituée d’entrepreneurs qui se sont regroupés au sein d’une structure commune.

d’entreprises familiales qui lutte déjà depuis des années contre la financiarisation de ce métier se doit d’être un accompagnateur des nouveaux comportements et attentes de nos familles. »

Philippe Martineau, directeur général délégué UDIFE (Le Choix Funéraire)